On achève bien les discos – Tony Regazzoni © Alexis Leclercq
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On achève bien les discos – Tony Regazzoni © Alexis Leclercq
On achève bien les discos – Tony Regazzoni © Alexis Leclercq
On achève bien les discos – Tony Regazzoni © Alexis Leclercq
On achève bien les discos – Tony Regazzoni © Alexis Leclercq
On achève bien les discos – Tony Regazzoni © Alexis Leclercq
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On achève bien les discos – Tony Regazzoni © Alexis Leclercq
On achève bien les discos – Tony Regazzoni © Alexis Leclercq

Tony Regazzoni – On achève bien les discos

« On achève bien les discos » fait référence au film de Sydney Pollack et aux marathons de danse organisés aux États-Unis d’Amérique pendant la Grande Dépression : une activité très lucrative pour les organisateurs, basée sur le voyeurisme des un.es et la détresse des autres. Symbole de l’industrialisation de la fête, de l’incarnation de croyances et de rituels occidentaux, les discothèques ne seraient-elles pas les derniers temples de l’Homo sapiens en voie de disparition, voire de destruction ?

À travers une scénographie immersive, On achève bien les discos offre un corpus d’œuvres fixes ou animées, en deux ou trois dimensions. Produites à partir d’anciennes et de nouvelles technologies, de vestiges et de pastiches, elles sèment le trouble entre archives et fictions. On achève bien les discos retranscrit l’histoire et le souvenir de discothèques italiennes abandonnées avant de plonger le public dans l’atmosphère fluo et fantomatique du célèbre et mythique dancefloor de L’Ultimo Impero. L’exposition se parcourt tel un voyage extatique rythmé par la musique, les corps et les voix de celleux qui l’habitent. On achève bien les discos esquisse les premières intentions dramaturgiques du duo et plante le décor de leur futur opéra filmé dont l’écriture sera nourrie par une programmation soutenue et pensée avec soin.

extraits du dossier de presse : © Aurélie Faure, commissaire de l’exposition

Centre d’art Contemporain Chanot, Clamart, 2022

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